Extrait des émissions "Lo Tedhal-La Takhaf"
Vous avez sans doute déjà vu une photo ou une statue de saint Padre Pio, ce grand saint du XXème. Il disait toujours que la plus grande insulte faite à Dieu est de douter de lui.
Extrait des émissions "Lo Tedhal-La Takhaf"
Vous avez sans doute déjà vu une photo ou une statue de saint Padre Pio, ce grand saint du XXème. Il disait toujours que la plus grande insulte faite à Dieu est de douter de lui.
Extrait des émissions "Lo Tedhal-La Takhaf"
Je voudrais vous dire un simple petit mot : n'ayez pas peur de clamer votre foi. Si quelqu'un vous demande de vous présenter, vous n'avez pas honte de dire qui sont vos parents ou quelle est votre profession. Alors, comment quelqu'un peut-il avoir honte de dire: "Je suis l’enfant de Dieu"?
Extrait des émissions "Lo Tedhal-La Takhaf"
Nous allons avoir quelques réflexions autour d’un sujet général intitulé : "N’ayez pas peur!". Cette expression est mentionnée 366 fois dans la Bible. Le Christ l’a prononcée dans sa langue, l’araméen. Il disait : "Lo Tedhal".
Extrait du Livre: "L'Evangile en Prières"
† 1er dimanche de l’Avent – année B
Seigneur ! Quelle sera notre préparation à la fête de Noël ? Penserons-nous surtout aux cadeaux, à la décoration, à la bonne chair ? Ou penserons-nous à dépoussiérer notre cœur, à l’habiller de fête pour que nous soyons, nous-mêmes, les cadeaux que nous présenterons à la Crèche en compagnie des bergers, tes premiers visiteurs ?
Extrait du Livre: "L'Evangile en Prières"
† Solennité du Christ, Roi de l’univers – année A
Seigneur ! L’année liturgique s’achève. Désormais, tu ne parles plus en paraboles. Tu dévoiles la fresque grandiose de ton retour en gloire pour le jugement dernier. Si ton premier avènement a eu lieu dans l’humilité et la pauvreté, le second se fera dans la majesté souveraine.
Extrait du Livre : "L'Evangile en Prières"
† 17e dimanche du Temps ordinaire – année C
Un jour, quelque part, Jésus était en prière. Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda: «Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean Baptiste l'a appris à ses disciples.» Jésus leur dit encore: «Supposons que l'un de vous ait un ami et aille le trouver en pleine nuit pour lui demander:'Mon ami, prête-moi trois pains: un de mes amis arrive de voyage, et je n'ai rien à lui offrir.' Et si, de l'intérieur, l'autre lui répond:'Ne viens pas me tourmenter ! Maintenant, la porte est fermée; mes enfants et moi, nous sommes couchés. Je ne puis pas me lever pour te donner du pain', moi, je vous l'affirme: même s'il ne se lève pas pour les donner par amitié, il se lèvera à cause du sans-gêne de cet ami, et il lui donnera tout ce qu'il lui faut. Eh bien, moi, je vous dis:
Demandez, vous obtiendrez; cherchez, vous trouverez; frappez, la porte vous sera ouverte. Celui qui demande reçoit; celui qui cherche trouve; et pour celui qui frappe, la porte s'ouvre. Quel père parmi vous donnerait un serpent à son fils qui lui demande un poisson ? ou un scorpion, quand il demande un œuf ? Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus le Père céleste donnera-t-il l'Esprit Saint à ceux qui le lui demandent !»
Seigneur ! Sur le mont des Oliviers s'élève, depuis le IVe siècle, l'Église du Pater pour rappeler ce moment où tu as appris à tes disciples à prier le Père. Matthieu et Luc rapportent tous les deux ce souvenir que leur ont transmis les apôtres, mais chacun dans un style et dans un contexte différents. Chacun a sa perspective et la liberté lui a été laissée de rapporter tes paroles en fonction de ce choix. Matthieu a gardé la saveur des formules prononcées en araméen. Le Pater est la prière communautaire des premiers disciples. Luc, quant à lui, s'adresse à des Grecs, aux communautés chrétiennes fondées par saint Paul. Il s'agit de demander au Père la grâce de rester fidèle à la foi de son baptême.Cependant l'un et l'autre nous livrent le programme de toute vie chrétienne.
Voyant comment tu pries, tes disciples te demandent de leur enseigner à prier. Quelque chose devait passer à travers ton visage et ton attitude qui les a bouleversés.
Extrait du Livre : "L'Evangile en Prières"
† 13e dimanche du Temps ordinaire – année CComme le temps approchait où Jésus allait être enlevé de ce monde,
Mais on refusa de le recevoir, parce qu'il se dirigeait vers Jérusalem.
Devant ce refus, les disciples Jacques et Jean intervinrent :
« Seigneur, veux-tu que nous ordonnions que le feu tombe du ciel pour les détruire ? »
Mais Jésus se retourna et les interpella vivement. Et ils partirent pour un autre village.
En cours de route, un homme dit à Jésus : « Je te suivrai partout où tu iras. »
Jésus lui déclara : « Les renards ont des terriers, les oiseaux du ciel ont des nids ;
mais le Fils de l'homme n'a pas d'endroit où reposer la tête. »
Il dit à un autre : « Suis-moi. » L'homme répondit :
« Permets-moi d'aller d'abord enterrer mon père. »
Mais Jésus répliqua : « Laisse les morts enterrer leurs morts.
Toi, va annoncer le règne de Dieu. »
Un autre encore lui dit : « Je te suivrai, Seigneur ;
mais laisse-moi d'abord faire mes adieux aux gens de ma maison. »
Jésus lui répondit : « Celui qui met la main à la charrue et regarde en arrière
Seigneur ! Voici une nouvelle période de ta vie qui commence et elle sera décisive. L'heure de la Rédemption est proche. Tu quittes donc la Galilée et tu te rends résolument à Jérusalem en prenant le chemin le plus direct ; cela t'oblige à traverser la Samarie.
Ce n'est pas le chemin emprunté habituellement par les pèlerins qui voulaient à tout prix éviter le contact avec les Samaritains qu'ils exécraient. Selon l'expression sémitique, tu «durcis ton visage» ; expression que l'on trouve dans le Chant du Serviteur chez Isaïe : «J'ai rendu mon visage dur comme pierre, je sais que je ne serai pas confondu» (Is 50, 7). Cela prouve ta détermination dans la décision que tu prends d'accomplir jusqu'au bout ta mission dans un total abandon au Père.
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